30 março, 2010

Sócrates usa sistema de Salazar


Segundo o Expresso, o Libération não saiu em Portugal, na 5a feira, 18 Março, por "problemas de impressão"...........

Se quiserem determinar quais os “tais problemas de impressão” que impediram a publicação do Libération em Portugal, na passada 5ª feira, dia 18 de Março, é só carregarem no link abaixo e rapidamente entendem porque é que a rotativa falhou nesse dia…

Monde 18/03/2010 à 00h00
José Sócrates, le Portugais ensablé
Rien ne va plus pour le Premier ministre socialiste, dont le nom est associé à des affaires de corruption sur fond de crise économique majeure.

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Par FRANÇOIS MUSSEAU envoyé spécial à Lisbonne

L’inimitié d’une bonne partie des médias, une crise politique qui tourne au blocage institutionnel, une situation sociale explosive, un fiasco économique obligeant à des mesures drastiques à court terme… Comme si cela n’était pas suffisant, le bouillant José Sócrates (mollement réélu aux législatives de septembre 2009) doit désormais affronter une fronde du Parlement qui pourrait le forcer à la démission ou amener sa famille socialiste à lui trouver un successeur à la tête du gouvernement. Aujourd’hui commencent à Lisbonne les travaux d’une commission d’enquête parlementaire qui, pour la première fois depuis la fin de la dictature de Salazar, implique directement un Premier ministre. Et va le contraindre à comparaître physiquement, au mieux par écrit. «Le Portugal est un bateau ivre dans lequel le capitaine est le plus suspect de tout l’équipage», a asséné un chroniqueur de la chaîne privée SIC.

D’après les économistes, de tous les pays européens au bord du «décrochage», le Portugal est certainement le maillon le plus faible. Plus encore que la Grèce, le petit pays ibérique souffre de maux structurels, d’exportations en berne, d’une dette extérieure record et d’un déficit public de 9,3%. Bruxelles attend de Lisbonne des mesures concrètes pour respecter le «plan d’austérité» auquel José Sócrates s’est engagé. Mais ces mesures, qui promettent d’être draconiennes, se font attendre… D’autant que José Sócrates est encore affaibli par ses problèmes politico-judiciaires.

«réformateur». Ce qui ressemble fort à un procès politique est lié à un supposé cas d’interventionnisme. Pendant deux mois, un groupe de députés tentera de faire la lumière sur le rôle qu’a joué José Sócrates dans la tentative du géant Portugal Telecom (PT, contrôlé par le gouvernement socialiste) de racheter la télévision TVI, hostile au pouvoir. Il s’agit en somme de savoir si le leader socialiste a manœuvré pour placer la chaîne sous son joug. En juin 2009, devant le Parlement, Sócrates avait solennellement assuré ne rien savoir de telles tractations. Si cette commission d’enquête, qui va auditionner des dizaines de témoins, fait la preuve que le Premier ministre a menti, les jours de celui qui promettait de «transformer le Portugal en profondeur» seront comptés.

«Alors qu’il a pu être une partie de la solution pour le pays, Sócrates est aujourd’hui une partie du problème», résume José Manuel Fernandes, ancien directeur du quotidien de référence Público, dont le départ tient à ses relations tendues avec le leader socialiste. Comme d’autres nombreux détracteurs, Fernandes reconnaît que le tonitruant Sócrates a été, au début de son premier mandat - de 2005 à 2007 -, un chef de gouvernement courageux, qui a ramené un gros déficit à 3% (aujourd’hui de nouveau autour de 10%), réformé le système des retraites (âge légal et temps de cotisation augmentés), accru les recettes fiscales, créé 150 000 emplois, fait le ménage au sein de la haute administration… «Un bon bilan de réformateur volontariste, qui a su contenir à sa gauche et rassurer à sa droite, dit le politologue Manuel Villaverde Cabral. Il a mis à la porte pas mal de gens dans les hautes sphères, qui sont aujourd’hui autant d’ennemis.» Mais, si José Sócrates est autant ébranlé, c’est aussi parce que son parcours est jalonné de zones d’ombres et d’agissements suspects.

Depuis ses premiers pas municipaux dans la région de Beira Baixa, à l’est du pays, il a été mêlé à une dizaine de scandales. Un diplôme d’ingénieur obtenu dans des conditions suspectes, des permis de construire douteux accordés au sein de la municipalité de Castelo Branco, l’affaire «Face occulte» (des écoutes téléphoniques le lient avec un homme d’affaire véreux ayant un quasi-monopole sur les friches industrielles)… Ou encore l’affaire «Freeport», une société britannique ayant installé un centre commercial à Alcochete, en banlieue de Lisbonne, sur un terrain protégé… grâce au feu vert de Sócrates, alors ministre de l’Environnement ! «En réalité, à chaque fois, il n’y a aucune preuve formelle, dit José Manuel Fernandes. Mais rien n’est vraiment clair avec lui.»

jeune loup. Energique et charismatique, doté d’une audace qui a électrisé une vie politique ankylosée, José Sócrates apparaît aussi comme un leader intransigeant, autoritaire et irascible, dont l’ambition dévorante en irrite plus d’un. «Son parcours, c’est celui d’un jeune loup sans idéologie, opportuniste, un pur produit d’appareil qui a escaladé les échelons la tête froide, le décrit Fernando Rosas, historien et député du Bloc de gauche. Il a toujours eu un côté borderline. Et puis ses accès d’autoritarisme lui valent une piteuse image dans des médias qui ne sont pas tendres avec lui.» Sócrates le leur rend bien : plusieurs journalistes de télé vedettes (Mário Crespo, Manuela Guedes…) ont dénoncé «la censure» exercée sur eux par le Premier ministre. Une commission d’éthique s’est mise en place en janvier pour éclaircir la question. «L’un des grands problèmes de Sócrates, c’est qu’il a perdu le soutien des élites, analyse José Manuel Fernandes, l’ancien patron de Público. On ne lui fait plus confiance, tout le monde a peur d’être trompé par ce personnage trouble et ambigu.»

Dans un sérail politique dominé par des doctores, ce socialiste sans titre prestigieux agace et rompt avec le statu quo. A la manière d’un Sarkozy portugais, Sócrates est un fonceur, un communicateur zélé qui a phagocyté son parti et personnalisé à l’extrême l’exercice du pouvoir. Autres similitudes : il ne craint pas de tailler dans le vif, supporte mal les critiques, perd facilement ses nerfs et cultive la perméabilité entre la sphère politique et celle des affaires - à l’instar de Jorge Coelho, un de ses proches, ancien ministre socialiste entré avec sa bénédiction dans le conseil d’administration du géant du BTP Mota-Engil.

A force de jouer avec le feu, José Sócrates se retrouve-t-il sur un siège éjectable, six mois seulement après sa difficile réélection (une courte majorité au Parlement) et alors que sa cote de popularité chute allègrement ? «A priori, tous les éléments l’accablent, explique Ricardo Costa, directeur adjoint de l’hebdo Expresso.Heureusement pour lui, les circonstances le protègent.» De l’avis général, le président de la République, Cavaco Silva, mentor du grand parti de la droite (PSD), n’a pas intérêt à convoquer des élections anticipées. Par souci de stabilité institutionnelle, et aussi parce qu’un scrutin aujourd’hui ne changerait sûrement pas beaucoup la donne. Jusqu’à janvier 2011, date de la présidentielle, Sócrates ne risque donc pas sa peau. Sauf si, bien sûr, la commission d’enquête parlementaire qui s’ouvre aujourd’hui exige sa démission.

sacrifices. Même s’il reste en place, tous lui pronostiquent toutefois un chemin de croix jusqu’à la fin 2010. Après avoir concédé des largesses sociales, Sócrates va devoir appliquer d’ici peu le plan d’austérité dicté par Bruxelles via des coupes claires dans les dépenses sociales (santé, indemnités chômage, subventions, accès au RMI…). «Depuis dix ans, le pouvoir exige que les Portugais fassent des sacrifices, explique Manuel Villaverde Cabral, le politologue. Je ne crois pas qu’ils supporteront plus longtemps.»

José Sócrates, pris entre l’enclume sociale et le marteau financier ? «Il est pieds et poings liés, renchérit José Manuel Fernandes. Le modèle industriel portugais, vieux de cinquante ans, est moribond, et rien ne le remplace. Le pays ne produit qu’entre 30 et 40% de ce qu’il consomme. La marge de manœuvre de Sócrates est très faible.»

Pourra-t-il rebondir ? Ricardo Costa, de l’Expresso, et d’autres observateurs en sont convaincus : «Ce type a plus de vies qu’un chat. Il est très dur, très résistant, il sait encaisser les coups. Une vraie bête politique qui sait sortir ses griffes lorsqu’il est le plus affaibli.»
Fonte: http://www.liberation.frmonde/0101625174-jose-s-crates-le-portugais-ensable


24 março, 2010

Autarcas de referência dão a cara por Rangel

Quem apoia quem?
Diz-me com quem andas e dir-te-ei quem és....
Mais um (exclente) trunfo de Rangel na conquista de Braga.

Firmino Marques - Mandatário concelhio de Paulo Rangel


Caro(a) Companheiro(a) de Braga,

È com muito honra que assumo a responsabilidade de ser Mandatário para o Concelho de Braga da candidatura a Presidente do PPD/PSD do Dr. Paulo Rangel.

Libertar o Futuro e ruptura com a “prática nebulosa” de se estar na política, são conceitos que são necessários incluir no dia-a-dia das nossas vidas, para se recuperar a esperança de finalmente o “25 de Abril” significar na prática, LIBERDADE, IGUALDADE, JUSTIÇA e TRANSPARÊNCIA. Na defesa desses valores, ACREDITO que o Dr. PAULO RANGEL, será um bom intérprete dos nossos mais fundados sonhos.

No próximo dia 26 de Março de 2010, ajude-nos a virar uma página necessária à recuperação do nosso País.

Com um abraço AMIGO,

Firmino Marques

23 março, 2010

Vamos Limpar Portugal II

Após o sucesso do fim de semana passado, surge uma nova inciativa, que exige a participação de todos: "Vamos Limpar Portugal II"

17 março, 2010

Ricardo Rio manifesta apoio a Rangel

Com o apoio de Ricardo Rio, Rangel vê reforçada a sua posição no distrito de Braga, onde se pensava (pensava) ser um bastião de Passos Coelho. A vitória de Rangel parece inevitável....

Exmos. Senhores,
Com os melhores cumprimentos,
Ricardo Rio


Caro(a) Companheiro(a),
Hoje, depara-se-nos um País mergulhado numa grave crise social e económica, debilitado na sua competitividade e credibilidade internacionais, fragilizado na capacidade de afirmação e actuação das suas principais Instituições.
Por força do desgoverno a que o Partido Socialista conduziu Portugal ao longo de 13 dos últimos 15 anos, os Portugueses vêem-se confrontados com a necessidade de adopção de medidas de austeridade tão socialmente injustas quanto economicamente necessárias, sob pena de entrarmos numa espiral de descrédito com consequências bem mais gravosas para o País, os agentes económicos e os cidadãos.
Poderia ter sido diferente. Bastava que, em tempo, o Governo tivesse invertido o rumo da Governação e tivesse acatado os alertas e propostas formulados por vários líderes, Deputados, Autarcas e demais responsáveis do nosso Partido. Mesmo quando, por mera conveniência pessoal, muitos dos nossos contribuíram activamente para a desvalorização desses alertas e para a menorização das nossas propostas.
Esse é um passado para o qual não há retorno possível. Há, pois, que olhar em frente e saber conquistar o futuro, devolvendo a esperança aos Portugueses e mobilizando-os para um projecto comum, reconstruindo ambições, semeando bem fundo as raízes de um modelo de Governo assente na responsabilidade, na ética, na verdade, na independência face aos grupos de interesse e na consciência permanente do sentido do bem público.
Hoje, o PSD atravessa um novo período eleitoral interno, que deve saber aproveitar como momento clarificador das diferenças mas congregador no objectivo essencial que perseguimos desde a fundação enquanto Partido democrático: Servir Portugal.
Num momento de tamanha exigência, para o Partido e para o País, seria porventura impossível esperar que se pudesse reunir num só candidato todos os atributos que cada um de nós entende serem requisitos para o cabal cumprimento das funções que a curto e/ou a médio prazo lhe serão cometidas. Mas, não duvidemos, um Partido que muitos consideravam moribundo soube gerar quatro candidaturas que se saúdam pela qualidade e disponibilidade, e que a todos devem orgulhar. Qualquer uma delas supera em competência, seriedade, humildade, proximidade e sentido de Estado aquele que lidera o Governo de Portugal de há 5 anos a esta parte.
Ainda assim, sejamos igualmente claros, num momento de tanta responsabilidade, não podemos optar senão pelo melhor. Pelo mais competente, pelo mais próximo dos anseios dos cidadãos, pelo que tem o melhor projecto para o País, pelo mais mobilizador, pelo mais combativo, pelo mais acutilante, pelo que se exprime de forma mais clara e consistente, pelo que demonstra mais sentido de responsabilidade e melhores condições para ser o próximo Primeiro-Ministro de Portugal.
Permita-me, pois, que lhe transmita o meu testemunho pessoal, enquanto militante e cidadão que tem procurado servir da forma mais capaz e dedicada possível o seu Partido, a sua Cidade, o seu País.
Hoje, e de forma ainda mais consolidada após o extraordinário Congresso do PSD do último fim-de-semana, entendo que Paulo Rangel é o candidato credor do meu apoio e merecedor do voto da maioria dos militantes do Partido Social Democrata.
Exorto-o(a), pois, a participar neste acto eleitoral*, a demonstrar a vitalidade do nosso Partido e a escolher Paulo Rangel como líder e futuro Primeiro-Ministro de Portugal, assim possa contar com a colaboração de todos.

Com amizade,
Ricardo Rio

01 março, 2010

FEIRA DO LIVRO - QUO VADIS?

Recomendação do Bloco sobre a Feira do Livro de Braga, aplaudida por toda a oposição, que a maioria "dita" socialista chumbou.

Através da comunicação social ficamos a saber que a próxima Feira do Livro de Braga, a realizar em Abril, durará menos uma semana do que era habitual.

Tal notícia deverá preocupar os bracarenses.

Durante anos, a Feira do Livro foi a mais importante e visível manifestação cultural desta cidade, tendo servido mesmo de pretexto para iludir a inexistência de uma política cultural municipal consistente e credível.

Tendo-se iniciado timidamente em 1992, afirmou-se pioneira quer quanto à sua realização em recinto coberto, quer quanto a uma programação cultural paralela até então invulgar em iniciativas do género.

A presença de grandes nomes da literatura, da arte e da cultura portuguesa e europeia (basta lembrar os nomes de J. Derrida e M. Vazquez Montalban, de Serge Reggianni e de Paco Ibañez), a que não é alheio o papel desempenhado por José Manuel Mendes, proporcionou a realização de sessões, debates e espectáculos de grande qualidade, que atraíram numeroso e interessado público e deram grande visibilidade ao certame.

Tal facto reflectiu-se na presença das principais editoras portuguesas em pavilhões próprios, que traziam milhares de títulos, com as suas últimas novidades literárias, bem como fundos bibliográficos menos acessíveis, que chamavam milhares de visitantes.

De referir ainda a forte presença de livrarias e editores minhotos que bem precisam de dar-se a conhecer, bem como dos sempre apetecíveis alfarrabistas.

Infelizmente nos últimos anos a Feira foi perdendo importância e capacidade de atracção. O número de expositores, também devido aos custos de aluguer dos pavilhões e da ocupação do espaço, diminuiu em quantidade e qualidade o que, aliado à distância do Pavilhão do(s) centro(s) da cidade e a alguma falta de condições do recinto (os expositores e visitantes queixavam-se sobretudo do frio), fez diminuir drasticamente a afluência do público. O próprio programa cultural, ex-libris da Feira, embora mantendo alguma qualidade, foi perdendo o fulgor que o tinha caracterizado, sendo cada vez mais raras as figuras de renome que participavam nos debates, colóquios e lançamentos de livros, alegadamente por falta de investimento municipal nesta manifestação cultural, dado que o Ministério da Cultura, de há uns anos a esta parte, deixou de a apoiar.

Citando Alexandre O’Neill, estávamos a ficar perante uma feira cabisbaixa.

Afastados que estão os principais mentores da F.L. (Jorge Cruz e José Manuel Mendes), achamos que é altura de inflectir esta situação e trazer o livro para a rua.

Em Portugal editam-se mais de 15 mil títulos por ano, as redes de bibliotecas públicas e escolares constituem um sucesso indiscutível, o Plano Nacional de Leitura tem promovido o livro e a leitura, sobretudo junto dos mais jovens, como nunca se tinha verificado no nosso país, os hábitos de leitura estão a aumentar.

Trazer o livro para a rua, em Braga, significa pô-lo em contacto mais direto e imediato com as pessoas, em local central, que a população frequente e de que possa usufruir livremente.
Trazer o livro para a rua significa realizar uma Feira do Livro ao ar livre, na Avenida Central, recorrendo às tradicionais barracas (ou erguendo uma ou várias tendas), no princípio do Verão, procurando que não coincida com as F.L. do Porto e Lisboa.

Trazer o livro para a rua significa também que se continuem a realizar actividades culturais paralelas no espaço circundante, utilizando espaços de diversas instituições como o Museu Nogueira da Silva, a Casa do Professor, o Inatel e o Edifício dos Congregados (que possuem auditórios), recorrendo aos cafés e esplanadas da zona, às livrarias, ao Coreto da Avenida (para recitais de poesia ou iniciativas com crianças) e mesmo ao Teatro Circo, para o espectáculo musical que costuma assinalar o início da Feira.

Trazer o livro para a rua é fazer uma festa do livro, envolvendo toda a população e agentes culturais e, simultaneamente, atraindo visitantes e turistas para quem o livro é essencial ou procurando seduzir para um primeiro contacto aqueles que mal o conhecem.

Posto isto, o Grupo Municipal do Bloco de Esquerda, apresentou a seguinte Recomendação na última Assembleia Municipal:

Recomendação


Dada a perda de importância e de capacidade de atracção que as últimas edições da feira do Livro de Braga vêm evidenciando

Dada a necessidade de se inverter esta situação de forma a reconciliar a população de Braga e os seus visitantes com uma Feira que promova e estimule os hábitos de leitura

A Assembleia Municipal de Braga, reunida a 26 de Fevereiro de 2010, recomenda à Câmara Municipal de Braga que:

1- A edição de 2011 da feira do Livro de Braga seja realizada ao ar livre, na Avenida Central,
2- A edição de 2011 da Feira do Livro de Braga promova iniciativas paralelas que envolvam as instituições situadas nas proximidades da Avenida Central, cmo o Museu Nogueira da Silva, a Casa do Professor, o Inatel, o Pólo do Congregados da Universidade do Minho.
3- A edição de 2011 da Feira do Livro de Braga promova iniciativas paralelas que envolvam o espaço dos cafés, das esplanadas, do coreto e do Teatro Circo.

O Grupo Municipal do Bloco de Esquerda

Por sua vez, "Bracara Angústia" dedica "Liberdade" ao Grupo Municipal do Partido Socialista

"Ai que prazer
Não cumprir um dever,
Ter um livro para ler
E não o fazer!
Ler é maçada,
Estudar é nada.
O sol doira
Sem literatura.

O rio corre, bem ou mal,
Sem edição original.
E a brisa, essa,
De tão naturalmente matinal,
Como tem tempo não tem pressa...

Livros são papéis pintados com tinta.
Estudar é uma coisa em que está indistinta
A distinção entre nada e coisa nenhuma.

Quanto é melhor, quando há bruma,
Esperar por D. Sebastião,
Quer venha ou não!
Grande é a poesia, a bondade e as danças...
Mas o melhor do mundo são as crianças,
Flores, música, o luar, e o sol, que peca
Só quando, em vez de criar, seca.

O mais do que isto
É Jesus Cristo,
Que não sabia nada de finanças
Nem consta que tivesse biblioteca..."

Fernando Pessoa, Liberdade

Fundo Social SEX

Li há dias, que a maioria socialista da Câmara Municipal de Braga, não aprovou uma proposta da oposição, para aumentar a despesa com os apoios sociais.

Agora, "vejam claramente visto" com os vossos próprios olhos, qual a despesa que a mesma Câmara aumenta, para alimentar os “delírios” das pessoas que dirigem o Fundo Social dos “trabalhadores” da mesma. Este Fundo Social é maioritariamente subsidiado pela Câmara, portanto, por todos nós.

Será que o Presidente desse Fundo Social, é o Roxo?

Prestem especial atenção à imagem e segurem-se quando nela clicarem....

Abraços
Anibal Acacio